Amalisa Mortimer (AII)

Amalisa Mortimer | 54 ans | 05/10 | 1m67 | Droitière

Famille : Arsène Mortimer (mari) | Edward Mortimer (fils) | Lupin Mortimer (fils) || Elodie Fraval (mère) | Anjuliu Fraval (père, décédé) | Eloïse Vahira (Soeur, décédée)

Amalisa est née dans une famille de couturiers, qui eurent tôt fait d’étendre la boutique qu’ils ont reprise, les Fils de Velours, à une renommée nationale. Elle et sa soeur jumelle n’ont par conséquent pas manqué de grand chose pendant qu’elles étaient petites. Elles étaient presques fusionnelles, mais c’est après l’obtention de leur premier diplôme que leur chemin dût se séparer : tandis qu’Eloïse aimait l’histoire, Amalisa s’est intéressée à la haute-couture.

Elle rencontra celui qui allait devenir son mari tôt, grâce à sa jumelle. Follement amoureuse de lui, elle fut ravie lorsqu’elle apprit que c’était réciproque et ils eurent tôt fait de se marier et d’avoir deux enfants.

Cependant, le bonheur ne dura pas. La famille fut surprise par un incendie, de nuit, alors qu’elle était invitée chez Eloïse et son conjoint. Ces deux derniers moururent, mais la famille des Mortimer s’en sortit à peine mieux. Amalisa resta dans le coma pendant longtemps. 7 ans, précisément. Au terme de cela, et après avoir retrouvé ses capacités motrices et intellectuelles, elle découvrit les grands changements qui s’étaient opérés depuis tout ce temps : la mort de sa soeur, la perte de ses enfants, les affaires de son mari qui avaient tourné à la grosse mafia. Même si son moral fut grandement atteint par cela, elle décida de reprendre les affaires de sa famille dans la couture, soutenue par Arsène au quotidien, notamment à cause de sa santé devenue extrêmement fragile.

Amalisa est une femme très attentionnée, et enjouée. Elle peut se montrer très collante et envahissante, surtout avec sa famille, ou ceux qu’elle considère comme tel. C’est une femme très épanouie, et qui essaye d’avancer en gardant espoir quoi qu’il arrive. Elle aime particulièrement la broderie et la couture, et en donne un peu à tout le monde à l’occasion.