KyokiNoRozu

Quand vint le temps des douze cloches de minuit, Alors que tombait la blanche chute sublime, Une dame d'une renommée richissime Pleurait sur son funeste destin sans un bruit. L'assassin à la canne et aux nobles habits Avança avec peine faire face au crime, Souriant devant les larmes de sa victime Et prenant une rose, calmant son esprit. Voyant son tueur s'approcher arme à la main, La belle paniqua et, d'un coup d'escarpin, Envoya les fleurs rouges à la cheminée. À la seconde où il vit ces rubis périr, L'assassin sentit vite sa rage grandir Et fit partir une balle pour les venger.

Les jours sombres d’absence ne sont qu’un devoir Inné, prudent, où traînent de rouges épis Excellence soutenue, après l’au revoir Non loin où le chagrin s’efface dans la pluie Rêvons de futures années, tissées de joie Éclairées de rires, vivantes de tendresse Temps précieux, le bleu ciel aime lacer nos doigts Adoucis, détendus de soie enchanteresse Brodés de cette passion, réaliste à nous Là où attentes et espoirs défieront tout Ici le soleil ravive nos aspects doux